Vous aurez sûrement déjà entendu parlé de ces femmes. Leurs histoires sont racontées dans les églises à travers le monde et continuent d’inspirer des chrétiens de tous horizons. Si vous ne les connaissez pas, vous en apprendrez un peu sur elles dans cet article.
1.Mary Slessor :
- Née en 1848, à Aberdeen, en Ecosse.
- Décédée en 1915, à Calabar (maintenant partie du Nigeria).
Mary Slessor (1848–1915) était une missionnaire protestante écossaise qui a laissé une empreinte indélébile en Afrique de l’Ouest.
Née en 1848 à Gilcomston, Aberdeen, en Écosse, Mary a grandi dans une famille ouvrière pauvre. La deuxième de sept enfants, son père était cordonnier et alcoolique, et sa mère tisserande qualifiée et profondément religieuse. Mary obtint à 14 ans un travail comme tisserande de jute dans les usines de Dundee, après avoir travaillé à mi-temps dans cette même usine depuis l’âge de 11 ans. Malgré son emploi du temps chargé – elle travaillait de 6 heures à 18 heures- elle trouvait le temps pour aller à l’église le dimanche et même enseigner à l’école du dimanche.
À 27 ans, Mary décida de suivre les traces de David Livingstone (le missionnaire écossais connu pour avoir exploré et cartographié une grande partie de l’Afrique dans les années 1800). Mary elle aussi voulait devenir missionnaire chrétienne en Afrique. Elle postula auprès d’une agence missionnaire mit le cap sur l’Afrique de l’Ouest en 1876, à 28 ans. Sa destination : la région de Calabar chez les Efik.
Il était important pour Mary d’apprendre la langue locale et c’est ce qu’elle fit, au point de parler la langue avec facilité. Ayant appris l’Efik, elle pu devenir professeure dans la région où elle habitait. Sa forte personnalité et son adaptation à la culture locale lui valurent la confiance des habitants, cette confiance lui permit de propager la foi chrétienne tout en militant pour les droits des femmes et des enfants autochtones.
L’une des exploits les plus remarquables de Mary a été de mettre fin à la pratique tribale de l’infanticide des jumeaux. Dans cette partie du Nigeria, les jumeaux étaient considérés comme étant sous une malédiction, ce qui entraînait leur abandon et leur mort. Mary sauva des jumeaux et en prit soin et montra ainsi à la communauté qu’ils n’étaient pas maudits. Grâce à Mary cette tradition macabre disparu de la région.
Mary mourut au Nigéria à 66 ans, elle avait attrapé la Malaria à son arrivée dans la région et en avait souffert par intermittence pendant toutes ses années de service. Pendant ses 38 ans de service elle soutient aussi financièrement sa mère et sa sœur qui moururent pendant qu’elle était en Afrique. Son travail sans relâche pour partager l’amour de Dieu et améliorer les conditions de vie en Afrique de l’Ouest n’est pas oublié aujourd’hui, sa foi et son dévouement inspirent encore des chrétiens à travers le monde et elle figure même sur les billets écossais de 10 livres sterling.
2. Amy Carmichael :
- Née en 1867, à Millisle, en Irlande du Nord.
- Décédée en 1951, à Dohnavur, en Inde.
Amy Carmichael (1867–1951) était une missionnaire protestante irlandaise qui a consacré sa vie au service des filles et des femmes indiennes.
Née dans une famille chrétienne, Amy était l’aînée d’une fratrie de sept frères et sœurs. Dans son enfance, mécontente d’avoir les yeux bruns, elle pria avec ferveur pour que ses yeux deviennent bleus, sans succès. C’est à l’âge adulte qu’elle compris que ses yeux bruns l’avaient aidée à être acceptée et intégrée en Inde, et elle remercia Dieu pour ces yeux qu’elle avait mal aimés.
Un jour, alors qu’Amy feuilletait son journal de prière, les paroles de Jésus résonnèrent à ses oreilles : « Allez, faites de toutes les nations des disciples » (Matthieu 28 :19). Elle sentit que le Seigneur l’appelait à servir comme missionnaire à l’étranger. A la Convention de Keswick de 1887, elle entendit Hudson Taylor, fondateur de la China Inland Mission (CIM) parler de la mission en Chine. En 1892, elle se porta volontaire pour aller en Chine intérieure avec ‘China Inland Mission’ mais fut refusée pour des raisons de santé. Elle souffrait de névralgie. Ce premier échec ne la stoppa pas puisqu’elle parti par la suite au Japon avec une autre agence missionnaire. Mais ces problèmes de santé et ceux de sa mentor l’obligèrent à rentrer en Angleterre. Cet autre échec ne la stoppa pas et en 1895, à 27 ans, elle arriva dans le sud de l’Inde, où elle allait passer les 56 prochaines années. Amy fonda la ‘Dohnavur Fellowship’, un orphelinat et une mission chrétienne, et ne retourna jamais en Irlande. Malgré des années de réorientation, Amy continua à poursuivre son appel d’aller faire des disciples de toutes les nations, trouvant enfin sa place dans la mission en Inde.
Le travail d’Amy était principalement axé sur les filles et les jeunes femmes. Un jour, le Seigneur amena mystérieusement à Amy une jeune fille nommée Preena, qui avait échappé de la prostitution dans un temple Hindou. Amy s’occupa de la jeune fille mais fut menacée par ceux qui voulaient qu’elle retourne au temple. Grâce à Preena, Amy découvrit ce sinistre business : en Inde, une coutume de l’époque était de forcer les jeunes filles à la prostitution sous couvert de rituel religieux, coutume qu’Amy fit tout pour faire arrêter. La mission qu’elle fonda, la ‘Dohnavur Fellowship’ visait à sauver les enfants du trafic dans les temples hindous. Sa croyance était que chaque vie comptait, peu importe ce que les normes sociales et religieuses disaient. La ‘Dohnavur Fellowship’ devint l’œuvre de toute une vie pour Amy. Elle s’occupa des orphelins, éduqua les filles et par la suite accueillit aussi les garçons, les enfants des prostituées des temples.
A l’âge de 63 ans, Amy subit un accident catastrophique alors qu’elle visitait un chantier de construction. Elle se cassa la jambe, la cheville et se torda la colonne vertébrale. Après son accident, elle resta alitée jusqu’a sa mort vingt ans plus tard. Paralysée par ses douleurs, et ne pouvant plus continuer son ministère habituel, elle se tourna alors vers l’écriture. Ses écrits, au nombre de 35 livres au total, relatent ses expériences, ses défis et ses victoires. Ses poèmes et ses chants reflètent sa profonde spiritualité et son amour pour Christ. L’héritage d’Amy perdure à travers les vies qu’elle a touchées et l’impact spirituel qu’elle a laissé. L’engagement indéfectible d’Amy envers l’Évangile continue d’inspirer les générations.
3.Gladys Aylward :
- Née en 1902, en Angleterre.
- Décédée en 1970, à Taiwan.
Gladys Aylward, née en 1902 à Londres, en Angleterre, était une missionnaire protestante anglaise en Chine et à Taiwan.
Gladys venait d’une famille anglaise pauvre. Ses parents étaient postiers et elle travailla comme domestique dès son adolescence, à 14 ans. Gladys reçut l’appel de Dieu à la mission en Chine alors qu’elle était une jeune femme. Elle avait entendu parler du travail d’Hudson Taylor et de la ‘China Inland Mission’ et postula. Mais elle fut finalement rejetée en raison de son faible niveau d’éducation; on pensait qu’elle ne serait pas capable d’apprendre la langue chinoise. Elle continua à prier, à lire sur la Chine et à économiser l’argent qu’elle gagnait en tant que servante jusqu’à ce qu’elle entende parler d’une vieille femme nommée Jean Lawson, missionnaire en Chine, qui avait besoin d’une assistante. Mais Gladys n’avait pas assez d’argent pour voyager par mer, alors contre l’avis de beaucoup de son entourage, elle prit un train à travers la Sibérie. A cette époque la région était en guerre, et elle fit face à de nombreuses difficultés. Dieu l’a amenée en Chine saine et sauve par de nombreux miracles.
À Yangcheng, en Chine, Gladys travailla dans ‘L’Auberge des Huit Bonheurs’ avec Jean Lawson. Cette auberge accueillait non seulement les voyageurs, mais elle devint également un lieu où elle parlait de Jésus, à une population qui n’avait encore jamais entendu parler de Lui . Ces voyageurs transmettaient ensuite le message de l’Evangile où ils allaient.
Après la mort de Jean Lawson, Gladys continua le travail avec leur cuisinier traducteur. Mais les changements ne s’arrêtèrent pas là. Le gouvernement lui confia la tâche d’inspecter les pieds des filles dans les villages environnants. Le bandage des pieds était une pratique chinoise courante qui causait des infections et des problèmes de santé. Le gouvernement avait interdit cette pratique et engagé Gladys en tant qu’inspectrice. Gladys eut alors l’occasion de voyager et de partager des histoires sur Jésus dans tous les villages environnants.
Lors de ces voyages, elle remarqua des choses inquiétantes. Elle trouva des orphelins errants et affamés, sans personne pour s’occuper d’eux. Elle commença à les ramener à l’auberge et pour prendre soin d’eux. En 1936, elle devint citoyenne chinoise et on lui donna le surnom de « Ai-weh-deh », qui signifie la Vertueuse. Les gens de la région l’aimaient pour son dévouement envers les plus faibles.
En 1938, le Japon envahit la région, et Gladys fit face à un défi encore plus grand. Elle guida les cent orphelins de l’auberge à travers des montagnes dangereuses afin qu’ils soient tous en sécurité. Quand ils arrivèrent, elle était malade et souffrait de malnutrition. Elle ne retrouva jamais sa pleine santé et dû retourner en Angleterre. Pendant dix ans elle parla dans les églises sur les besoins de l’Évangile en Chine. Lorsqu’elle tenta de retourner en Chine, le gouvernement communiste qui était arrivé au pouvoir pendant son absence lui refusa l’entrée. Elle alla à Taiwan où elle créa un orphelinat et vécut ses jours au service des autres jusqu’à sa mort en 1970.
Sa vie est le témoignage que dans les mains de Dieu, une petite femme peut faire une différence énorme dans la vie des autres. Gladys Aylward s’éteignit à Taipei, à Taïwan, laissant derrière elle un héritage qui transcende les frontières et le temps.
4.Corrie Ten Boom :
- Née en 1892, à Haarlem, aux Pays-Bas.
- Décédée en 1983 en Californie, aux Etats-Unis
Corrie Ten Boom, chrétienne protestante néerlandaise, est connue pour avoir survécu aux camps de concentrations nazis et pour avoir pardonné au soldat qui permit la mort sa sœur.
Née en 1892, aux Pays-Bas, dans une famille chrétienne qui tenait une horlogerie, Corrie grandit avec un grand frère et deux grandes sœurs. Pendant la Seconde Guerre mondiale, leur maison devint un refuge pour les Juifs cherchant à échapper aux nazis. Tragiquement, la famille Ten Boom fut finalement arrêtée et Corrie et sa sœur Betsie furent envoyées dans le camp de concentration pour femmes de Ravensbrück en Allemagne.
Là, les sœurs organisèrent des services religieux après les dures journées de travail en utilisant une Bible qu’elles avaient réussi à introduire clandestinement. De nombreux prisonniers se convertirent au christianisme. Mais après 11 mois dans ce camp de concentration, la sœur de Corrie, Betsie, mourut, succombant à la maladie et aux conditions difficiles. Douze jours plus tard, Corrie fut libérée. Par la suite, on lui dit que sa libération était due à une erreur administrative et qu’une semaine plus tard, toutes les femmes de son groupe d’âge avaient été envoyées aux chambres à gaz.
Ten Boom rentra chez elle en plein milieu de la famine néérlandaise de 44. Elle loua une maison à Bloemendaal aux Pays Bas qu’elle transforma en foyer pour les survivants des camps de concentration. Et dans l’esprit d’amour et de pardon pour lequel Corrie ten Boom s’est fait connaître dans le monde entier, ce centre hébergea et soigna également les Néerlandais démunis qui avaient collaboré avec les nazis pendant la guerre.
Ten Boom a ensuite parcouru le monde pour partager son histoire, elle tint des conférences dans plus de 60 pays. En 1946, à l’âge de 53 ans, Corrie retourna en Allemagne. Dans une église à Munich où elle partageait son histoire, un homme s’approcha d’elle à la fin de sa présentation. Elle le reconnut rapidement; il avait été l’un des soldats au camp de Ravensbrück. Elle se rappela du camp, de la honte d’avoir dû faire la queue nue devant lui, de sa cruauté envers sa sœur devenue anémique… L’homme lui dit qu’il était maintenant chrétien et qu’il était si heureux de l’entendre parler du pardon de Dieu. « Je sais que Dieu m’a pardonné des choses cruelles que j’ai faites là-bas, mais j’aimerais aussi l’entendre de vos lèvres. Fraulein,… » il tendit sa main,… « me pardonnerez-vous ?». Dans son livre elle écrit : « Il n’a pas dû rester là la main tendue plus de quelques secondes, mais pour moi, cela m’a semblé des heures alors que je luttais contre la chose la plus difficile que j’aie jamais eu à faire. Car je devais le faire – je le savais. Dieu pardonne à une condition préalable : que nous pardonnions à ceux qui nous ont blessé. “Si vous ne pardonnez pas aux hommes leurs offenses, dit Jésus, votre Père céleste ne vous pardonnera pas non plus vos offenses.” (Matthieu 6:15) … “Jésus, aide-moi !” J’ai prié en silence … Et puis cette chaleur soignante a semblé inonder tout mon être, me faisant monter les larmes aux yeux. “Je te pardonne, frère!” je lui dis en pleurant. “de tout mon coeur!” »
En 1971, elle publie le livre ‘The Hiding Place’, qui décrit ses expériences pendant la Seconde Guerre mondiale, y compris les efforts de sa famille pour cacher des Juifs et leur emprisonnement dans des camps de concentration. En 1975, le livre fut adapté au cinéma. Pendant les années qui suivirent la guerre, Corrie reçut des prix honorifiques de toute sorte pour avoir aider les juifs et les plus faibles pendant l’occupation nazie. Elle fut notamment nommée ‘Juste parmi les nations’ par l’Autorité du Souvenir de Yad Vashem d’Israël en 1967.
La vie de Corrie Ten Boom nous révèle avec puissance l’amour sans limite de Jésus Christ. Dans les épreuves, la souffrance et les cicatrices, Christ est glorifié, Lui qui est fort quand nous sommes faibles. (2 Corinthiens 12:9).
5.Elisabeth Elliot :
- Née en 1926 à Bruxelles, en Belgique.
- Décédée en 2015 aux Etats-Unis:
Elisabeth est née en 1926 à Bruxelles, en Belgique, où ses parents étaient missionnaires. Avant ses un an, ils déménagèrent en Amérique. Sa famille s’agrandit en Amérique et Elisabeth devint l’aînée de quatre jeunes frères et d’une sœur.
Elle fit ses études avec brio à la prestigieuse université de Wheaton College où elle étudia le grec classique dans le but de traduire le Nouveau Testament dans une langue autochtone. C’est là qu’elle rencontra Jim Elliot, un chrétien passionné qui avait à cœur d’atteindre les tribus non atteintes avec l’Evangile de Christ.
Après avoir obtenu son diplôme, Elisabeth partit en mission en Équateur avec d’autres étudiants de Wheaton, dont Jim Elliot. En 1953, Jim et Elisabeth se marièrent à Quito et continuèrent à servir en Équateur. Ils eurent une fille, Valérie. En janvier 1956, Jim fut tué à coups de lance avec quatre de ses amis missionnaires alors qu’ils tentaient de prendre contact avec la tribu Auca. Leur fille, Valérie, avait alors 10 mois.
Elisabeth refusa d’abandonner le travail auprès des tribus d’Equateur. Elle continua à vivre dans la région avec sa fille et avec Rachel Saint, la sœur d’un autre missionnaire tué par la tribu. Elles vécurent deux ans dans la tribu Quichua. Dans cette tribu vivaient deux femmes Auca (la tribu qui tua son mari), et ces femmes enseignèrent leur langue à Elizabeth et Rachel. Ces femmes missionnaires purent par la suite se rendre dans la tribu Auca et nouer des relations avec eux. En vivant au sein de la tribu, elles démontrèrent leur amour et leur pardon et purent leur parler de l’Evangile de Christ. Les membres de la tribu se convertirent à Christ, et Rachel et Elizabeth traduisirent la Bible dans la langue Auca. Leurs efforts changea la perception que la tribu avait des étrangers. Durant ces années dans la tribu, Elisabeth écrivit deux livres relatant ses expériences et celles de Jim avec les tribus d’Equateur.
En 1963, après avoir passé plusieurs années avec les Auca, Elisabeth et sa fille partirent vivre en Amérique. Elisabeth rencontra Addison Leitch, professeur de théologien, qu’elle épousa en 1969. Pendant treize ans, Elisabeth anima l’émission de radio quotidienne « Gateway to Joy ». Chaque émission commençaient par : « Vous êtes aimés d’un amour éternel ». Elisabeth est l’auteur de plus de vingt livres, abordant des thèmes tels que la confiance, l’obéissance et la féminité biblique.
La vie d’Elizabeth est aussi un témoignage de la puissance de l’Evangile et de la Grâce de Dieu. Son histoire continue d’être racontée, lue et d’inspirer des hommes et des femmes chrétiens à partager l’Evangile dans les endroits reculés du monde, à pardonner et à s’attacher à la Parole de Dieu.
Conclusion
Ces 5 femmes ont toutes en commun qu’elles aiment le Christ et qu’elles ont vécu pour Lui. Leurs 5 vies sont un témoignage que Dieu est vivant, qu’Il change les cœurs et les nations par ses “vases de terres” (2 Cor 4:7) à qui il a confié Son trésor; l’Evangile de Christ. Malgré les faiblesses et les échecs de ces 5 femmes, Dieu les utilisa, les guida et par leurs vies, glorifia le Nom de Jésus Christ à travers les nations.
Pour lire leurs histoires :
1.Mary Slessor :
La Reine Blanche par Catherine MacKenzie :
https://blfstore.com/products/la-reine-blanche-mary-slessor
2. Amy Carmichael :
Amy Carmichael, Au secours de pierres précieuses, par Geoff & Janet Benge :
https://blfstore.com/products/amy-carmichael
Amma nous a aimés, La vie d’Amy Carmichael, par Kay Walsh :
https://blfstore.com/products/amy-carmichael
3.Gladys Aylward :
Gladys Aylward, L’aventure de toute une vie, par Geoff et Janet Benge :
https://maisonbible.fr/fr/18832-gladys-aylward-l-aventure-de-toute-une-vie-9782881501906.html
Gladys Aylward, La dernière montagne, par Myrna Grant :
https://blfstore.com/products/gladys-aylward-la-derniere-montagne
Gladys Aylward, La grande aventure d’une petite femme, par Laura Caputo-Wickham :
4.Corrie Ten Boom :
Corrie Ten Boom, Gardienne du Repaire des anges, par Geoff & Janet Benge :
https://blfstore.com/products/corrie-ten-boom
Dieu en enfer, avec Corrie Ten Boom à Ravensbrück, par John Sherrill et Elizabeth Sherrill :
https://maisonbible.fr/fr/6224-dieu-en-enfer-avec-corrie-ten-boom-a-ravensbrueck-9782953820904.html
Corrie ten Boom, Le secret d’une femme courageuse, par Laura Caputo-Wickham :
5.Elisabeth Elliot :
The Shadow of the Almighty, par Elisabeth Elliot (en anglais) :
https://www.fnac.com/mp27834380/The-Shadow-of-the-Almighty-Authentic-Classics-Elisabeth-Elliot
Sources :
1.Mary Slessor :
- https://www.ligonier.org/learn/articles/missionary-mary-slessor
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Mary_Slessor
2. Amy Carmichael :
- https://www.bu.edu/missiology/missionary-biography/c-d/carmichael-amy-beatrice-1867-1951/#:~:text=Carmichael%20twice%20attended%20Keswick%20Conventions,to%20live%20with%20his%20family.
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Amy_Carmichael
- https://en.wikipedia.org/wiki/Amy_Carmichael
3.Gladys Aylward :
- https://melissaspoelstra.com/2024/03/gladys-aylward-faithful-and-flawed/
- https://www.ligonier.org/learn/articles/missionary-gladys-aylward
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Gladys_Aylward
- https://en.wikipedia.org/wiki/Gladys_Aylward
4.Corrie Ten Boom :
- https://www.biography.com/activists/corrie-ten-boom#efforts-during-world-war-ii
- https://www.pbs.org/wgbh/questionofgod/voices/boom.html
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Corrie_ten_Boom
- https://en.wikipedia.org/wiki/Corrie_ten_Boom